Concours de startups : Le Fundtruck reprend la route en 2025 !
Fin le 25 septembre 2025

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Après l’édition 2024 qui a révélé des startups comme Ramdam Social ou FloodFrame, le Fundtruck revient à partir du 2 avril 2025 pour le Printemps du Numérique.

Quelles surprises le Fundtruck réservera-t-il en 2025 ? Si la tournée de l’an dernier du concours de startups itinérant devait être résumée, cela donnerait : 20 arrêts en France et en Belgique, plus de 7 000 km parcourus, plus de 500 entrepreneurs ayant présenté leurs projets et 1 350 jurés mobilisés.

Accompagné par des partenaires nationaux tels que le réseau des CCI, Sowefund, Bpifrance et Groupe CF, ainsi que par des acteurs locaux, le Fundtruck reprendra la route en 2025 pour son tour de France et de Belgique. À l’occasion du Printemps du Numérique, il effectuera son premier arrêt à Toulouse, le 2 avril, afin de rencontrer les futurs champions de la tech et de l'innovation et de créer des connexions entre entrepreneurs et investisseurs.

Créé en 2015 par Sowefund, ce concours bi-national a été repris en 2024 par Maddyness, qui poursuit sa mission de promotion de l’entrepreneuriat dans les territoires. Son objectif reste inchangé : informer, connecter les futurs acteurs de l’innovation et contribuer à la construction de l’économie de demain.

Le Fundtruck, un véritable dénicheur de talents

Le concours est ouvert à tout entrepreneur recherchant entre 500 000 et 5 millions d’euros et dont l’entreprise existe depuis moins de huit ans. Les candidats sélectionnés seront invités à pitcher leur projet à bord du camion du Fundtruck, stationné devant des lieux emblématiques de l'entrepreneuriat local.

Véritable dénicheur de talents, le Fundtruck a révélé de nombreuses startups prometteuses. Parmi celles qui ont participé au concours, on retrouve Floodframe, grande gagnante de l’édition 2024, ainsi que Ramdam Social et Substance of Light, toutes trois mises en lumière dans l’émission Qui veut être mon associé ?

D’autres startups ayant concouru ont également réussi à lever des fonds dans un cadre plus traditionnel, à l’image de la startup parisienne Phénix, qui a levé 33 millions d’euros, ou encore de Shopopop, la startup nantaise qui a levé 28 millions d’euros.

 

Les candidatures sont d’ailleurs ouvertes...

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